Déficit en testostérone : le rôle de cette hormone masculine pour la sexualité
Cycle hormonal masculin : andropause & taux de testostérone
Un premier type de contraception hormonale utilise un dérivé de la testostérone seul. Celui-ci supprime la fonction de l’axe hypothalamo-hypophysaire, ce qui bloque la spermatogenèse mais également la production de testostérone testiculaire. Cependant le dérivé de la testostérone permet de compenser l’absence de production de testostérone endogène pour les effets périphériques de cette hormone.À droite. La contraception hormonale peut également se faire via un dérivé de la testostérone associé à un progestatif. Au stade fœtal, la testostérone joue un rôle essentiel dans la masculinisation des organes. Lors de la puberté masculine, le niveau de testostérone sécrétée par les testicules augmente. En conséquence, les caractères masculins spécifiques apparaissent, comme la pousse des poils et le développement des organes génitaux.
La concentration de testostérone dans le sang est constamment détecté par le CHH. Ces cellules ont un rôle clinique de faible testostérone contrôle de la spermatogenèse en libérant une protéine capable de fixer la testostérone. Le signal créé par la fixation de la testostérone sur ces cellules va permettre l’activation de la spermatogenèse. La première chose à faire est de diagnostiquer la cause de l’hyperandrogénie et de la traiter si possible. Chez des patientes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques, la cause principale de la stérilité est une absence d’ovulation maintenue. Les médicaments inducteurs de l’ovulation peuvent être utiles chez ces patientes. Ce médicament n’est pas un traitement de l’impuissance ou de la stérilité masculine et ne doit jamais être employé ou réemployé en dehors d’une prescription médicale.
En général, les hormones utilisées pour traiter l’hirsutisme doivent être administrées pendant des périodes prolongées, car la plupart des troubles qui provoquent des taux d’hormones masculines élevés sont incurables. Ces hormones incluent les pilules contraceptives et les médicaments, comme le finastéride ou la spironolactone, qui bloquent les effets des hormones masculines. Les femmes enceintes ou qui pourraient le devenir ne doivent pas prendre de médicament bloquant les hormones masculines, un fœtus masculin risquant de développer des caractéristiques féminines. La pousse des poils dépend de l’équilibre entre les hormones mâles et les hormones femelles.
La concentration de testostérone est environ quarante fois plus élevée dans les testicules que dans le sang et cette forte concentration est nécessaire aux cellules de Sertoli pour la spermatogenèse [3]. La testostérone est l’hormone qui contribue à l’excitation sexuelle de l’homme, l’érection, l’éjaculation et est majoritairement produite dans les testicules. Un déficit en testostérone peut être la cause d’une dysfonction érectile.
En effet, l’alcool réduit le taux d’hormone lutéinisante (LH) dans le sang, l’une des principales hormones qui contrôlent le système reproducteur. Issue de la famille des androgènes, elle joue un rôle prépondérant dans la vie reproductive et sexuelle de ce dernier. Elle occupe également une place importante dans sa croissance et durant toute sa vie. En effet, la testostérone est principalement produite dans les testicules. Cette production s’augmente particulièrement durant la puberté, ce qui stimule le développement des traits sexuels secondaires masculins. De nombreux progestatifs ont été explorés dans les années 90, mais généralement dans le cadre de petites études qui mesuraient la baisse de production de spermatozoïdes plutôt que l’efficacité contraceptive [11].
Cependant, un excès de cette substance peut entraîner des complications, comme l’hypertrophie prostatique. Un autre acteur essentiel du domaine hormonal est la dihydrotestostérone (DHT). Cette forme plus puissante de testostérone est responsable de nombreux traits masculins, mais elle peut aussi jouer des tours à ceux qui y sont génétiquement prédisposés, comme une calvitie précoce. Cela démontre que même une molécule aussi essentielle que la DHT peut entraîner des changements non désirés dans l’apparence et la confiance en soi d’un homme.
Ce rôle sexuel physiologique chez la femme est largement débattu par la communauté scientifique », remarque le Pr Young. Immédiatement après la naissance, la testostérone continue à être produite pendant trois à six mois (on appelle cette période « minipuberté ») puis la production s’arrête pendant plus de 10 ans. La sécrétion de testostérone provient des cellules de Leydig présentes au niveau des testicules. En quantité beaucoup plus faible, elle est produite par les glandes surrénales, ce qui est négligeable chez l’homme mais important chez la femme. Chez les hommes, la quantité de poils sur le corps varie énormément (voir Présentation de la pousse des poils), mais rares sont les hommes qui consultent un médecin pour une pilosité excessive. Chez les femmes, la quantité de poils considérée comme excessive varie en fonction de l’origine ethnique et de la culture. Généralement, la pilosité excessive est uniquement un problème esthétique et psychologique.
Chez l’homme, ce processus s’enclenche lorsque le cerveau détecte un niveau insuffisant de testostérone dans le sang, la principale hormone sexuelle masculine. C’est au cours de l’adolescence que le niveau de production est au plus haut, il diminue ensuite chaque année à compter des 30 ans. En outre, l’œstradiol présente des effets importants sur le corps humain. Entre autres, il est utile au développement des caractéristiques sexuelles féminines.